La corrida du 1er mai
La corrida du 1er mai, acrylique sur toile, 100x100 cm, 2024
La corrida, le flamenco, sont une langue qui se parle avec le corps. Elles n’attendent que des mains qui claquent pour prendre du style.
C’était à Saint-Jean-de-Luz. Je m’émerveillais, de cette coleta, de ce mot « toreador » qui est une rime d’opéra-comique et qu’on aimerait employer, tant il cadre bien avec ceux de matador et de picador. Un profane ne devrait pas avoir entrée libre aux arènes.
Jean Cocteau, « La corrida du 1er mai »